BEYROUTH REVEILLE-TOI !!!



L'ensemble de la Galilée arrosée;Tiberiade (photo) touchée,la population qui descend au sud;
Un liban incendié;un bateau de Tsahal preque coulé;Nasrallah qui hurle et menace comme un cochon enragé....on dirait bien qu'on y est...
Juste un petit point sur la region: AUX ABRIS.!!!
Le nord d'Israel est sous le feu et vit dans la peur.
En 24 h tout semble s'etre deterioré.Cela ressemble a un début de guerre meme s'y personne ne le crie haut et fort. A bas mots ,dans l'angoisse et l'inquietude.
Israel ne fera pas marche arriere et les "shaidims" du Hezbollah n'ont pas peur de mourir.
Nous si et c'est la, la difference...combien de sang faudra t-il verser avant que le massacre ne s'arrete?
Combien de routes libanaises Tsahal devra -t-elle detruire avant que le gouvernement de Beyrouth ne crie halte et prenne controle de son territoire ?!!
N'est ce pas la une opportunité pour le monde de desarmer enfin le Hezbollah et rendre au Liban sa vraie souveraineté.
Imaginez un instant que L'E.T.A francais attaque l'Espagne a coup de missiles;que celle-ci réplique légitimement en bombardant Paris et que l'Elysee s'indigne et se plaigne aupres de lONU.La république francaise n'est -elle pas souveraine sur l'ensemble de son territoire.Laisserait-elle un groupe terroriste attaquer un pays voisin?

Bref, cher Liban , terre de culture et de finesse, pays du cédre..reveille toi!
l'heure est venu de changer ton destin et de débarrasser le sud liban de la ferveur extrémiste islamique.
Le peuple du Liban qu'il soit chretien, musulman, maronite ou sunite mérite amplement mieux.
Toi seul peut mettre fin a ce conflit insensé.
Israel veut vivre en paix avec Beyrouth mais jamais plus sans le Hezbollah, sombre organisation, sinistre entité térroriste.

Des nouvelles chaudes ce soir encore.

7 commentaires:

Anonymous said...

Merci pour tes infos Alain, on reste à l'ecoute sur ton blog et on pense tres tres tres fort à vous,

David

Anonymous said...

Encore une fois Israël fait (comme toujours) le « sale boulot » consistant à combattre, seul, les deux organisations terroristes les plus virulentes de la région au risque de sa propre survie. Et cela pendant que la communauté internationale et les médias se cachent derrière les beaux discours, les soupirs et les doléances.

Courage.


http://blog.mikiane.com/index.php?entry=entry060714-103704

Anonymous said...

On pense à vous, courage!

Anonymous said...

Comment diable Israël a-t-il fait pour convaincre le monde qu’il était le mieux désigné pour mettre en application la résolution 1559 de l’ONU ? Nous l’y avons tout simplement aidé par une incroyable accumulation d’erreurs, par nos inhibitions, nos contradictions et nos divisions, par notre incapacité de saisir la chance historique d’édifier un Liban nouveau que nous offrait la fin de l’occupation syrienne. Erreur générale, pour commencer, que tout ce temps perdu en vaines discussions, en manœuvres, en finasseries politiciennes, à la recherche de cette formule magique qui eût permis de désarmer le Hezbollah sans le désarmer tout à fait, en le désarmant absolument. Erreur, que l’ambiguïté érigée en règle de gouvernement sous couvert de consensus national, sans souci de la lassitude croissante des puissances ou des énormes périls que recelait l’entrée en éruption du volcan palestinien.
Erreur colossale, de même, que cette capture de soldats israéliens à la frontière sud, opérée au lendemain du dévastateur ratissage de Gaza opéré en représailles, précisément, à une opération similaire conduite par le Hamas. Qu’à l’orée d’une saison touristique des plus prometteuses, le Hezbollah ait embarqué le pays tout entier, contre son gré, dans une catastrophique aventure, c’est l’évidence même, hélas. Que cette funeste décision ait obéi à des considérations et des motivations iraniennes, syriennes ou les deux à la fois, la terre entière en est convaincue (et avec elle, n’en doutons pas, l’écrasante majorité des Libanais eux-mêmes). Que ce pays serve de seule victime expiatoire, car ce serait trop pousser les enchères que de s’attaquer aux plus gros poissons, ne rend le fait que plus révoltant encore. Et pourtant, c’est une erreur littéralement planétaire cette fois que commettent les puissances, si elles croient qu’un Liban meilleur peut vraiment être façonné – à coups de massue – par l’État d’Israël, parfaite antithèse, en effet, du cas libanais.
« Vingt ans en arrière ! » Dans cette sinistre promesse que nous ont faite, d’emblée, les chefs de guerre israéliens, il y a toute l’exaspération, la hargne, la rage que suscite notre petit pays surmontant l’un après l’autre tous les coups du sort, et obstiné à construire et reconstruire, sans cesse, son modèle. Car ce n’est pas le Hezbollah, mais le Liban tout entier, dans sa population civile comme ses infrastructures vitales, qui est l’objet en ce moment de la furie israélienne, laquelle n’épargne ni les ambulances ni les hôpitaux, pas plus que les usines de produits alimentaires et les convois de vivres. Et c’est le comble de l’absurde que l’on atteint avec le matraquage de cette même armée régulière, dont on attend pourtant qu’elle prenne en charge un jour la région frontalière : force internationale ou non, c’est un outil essentiel de toute stabilité future que l’on est en train de démonter systématiquement. À quelle fin ?
L’Administration Bush a fait ses preuves de manière on ne peut plus éloquente, comme on sait, en Irak. Et ses équipées antérieures en terre libanaise ont déjà illustré une méconnaissance des réalités absolument stupéfiante, de la part d’un État aussi bien rodé à la guerre qu’Israël. Ce n’est pas en mettant à l’épreuve le culte du sacrifice inhérent à la communauté chiite que l’on peut, l’espace d’une campagne militaire,dresser celle-ci contre le Hezbollah. Ce n’est pas en faisant de la banlieue sud de Beyrouth un paysage lunaire, un Nasrallahgrad, que l’on vient à bout de la véritable adulation que vouent au chef de la Résistance islamique les foules palestiniennes orphelines de leurs héros historiques. Ce n’est pas en faisant de Fouad Siniora le maire en larmes d’un pays sinistré que l’on soutient dans les faits cette démocratie libanaise qu’évoquait encore hier George Bush, qu’on lui épargne la honte et la calamité de retomber dans les griffes du voisin syrien.

Ce n’est pas en le cassant purement et simplement que l’on peut régler la complexe question du Liban.

Alain Eskenazi said...

tres beau texte ,merci

Anonymous said...

"Israel veut vivre en paix avec Beyrouth mais jamais plus sans le Hezbollah, sombre organisation, sinistre entité térroriste."

Lapsus ou faute de français????

Anonymous said...

suite:
Il faut dire que sans le Hezbollah, l'hostilité des pays proches et les partis guerriers Palestiniens, que serait Israel?

Le chien sans son ennemi héréditaire le chat: fini les courses poursuites, les aboiements, les stupides humains qui essaient de s'interposer....

Finis les faramineux crédits pour l'armée et l'interminable service militaire.
Finie la fascination des jeunes pour l'armée et les services secrets, finie l'influence de ceux-là sur la société Israelienne toute entière.
Que seraient le tourisme, le commerce et l'industrie en Israel même, si Israel, de son côté, avait tenté sérieusement la voie de la paix?
Celà mérite d'être débattu.

Merci d'excuser mon anonymat, mais 1) il faut s'inscrire
2) à la suite d'un simple abonnement à des news de source Palestinienne je suis maintenant régulièrement inondé, malgré l'anti-spam, de messages ineptes contenant des virus.
Ce qui n'arrive pas, je l'espère à l'auteur de ce blog...