OLMERT TREMBLE ET HALUTZ S'EN VA...


L'annonce faite hier d'un possible accord de paix avec la Syrie n'etait pas un autre coup de bluff.
Des pourparlers ont bien eu lieu et une ébauche d'accord a bien été esquissée.
Que le gouvernement Israelien ait denoncé cette annonce ne signifie rien .
Olmert est bien trop faible en ce moment(mis en examen hier soir pour fraude sur la privatisation de la banque Leumi) pour se lancer dans un processus de paix qui incluerait un retour du Golan. Au plus bas dans les sondages il est egalement inquieté au sein de Kadima.
Il est d'autre part trop dépendant d'un Georges Bush qui interdit toute negotiation avec la Syrie.
Bref, ce n'est pas le moment meme si tout est prèt et que les contours d'un accord sont la sur la table....


Mais la grosse nouvelle de la matinée ,c'est bien sur la demission de Halutz,le chef des armées qui paye la faillite de Tsahal durant la guerre du Liban.

A quand le tour de Peretz et d'Olmert?
(photo :Ynet)

2 commentaires:

Anonymous said...

Désolé Alain , mais c'était plus qu'évident que cette nouvelle était du flan.
A l'heure actuelle, l'espoir est un luxe que nous ne pouvons nous payer, sinon nous allons nous écrouler psychiquement.(Désolé pour le cynisme aval ein ma laasot)

Aussi bien Jérusalem que Damas ont démenti l’information lancée par Haaretz. Et pour cause. Côté israélien, les analystes en stratégie politique régionale – s’accordant sur l’essentiel, fait assez rare – ont démontré l’impossibilité d’une telle démarche dans l’actuel contexte. A leur point de vue, Bachar el Assad tente effectivement de briser son isolement politique. D’où son offensive de charme, en direction d’Israël. Son objectif : d’une part redorer son blason à l’intérieur et, d’autre part, améliorer son image de marque vis-à-vis de l’occident. Mais, Assad fils est incapable d’aller au-delà du verbe. Pour trois raisons, pour le moins. Et d’une, il a besoin de l’Iran pour parvenir à un relatif équilibre de missiles à moyenne portée avec la Turquie et Israël. Et de deux, Téhéran contrôle le Hezbollah et peut, sur un simple signe, ruiner la manœuvre syrienne visant à faire échec à une réelle indépendance libanaise d’un côté et empêcher tout procès sur les assassinats de Hariri et Djemayel de l’autre. Et de trois, stopper tout soutien aux opposants armés au processus démocratique en cours en Irak entraînerait ipso facto une vive réaction des sunnites irakiens sous forme de troubles en Syrie même où les sunnites sont majoritaires. Cette incapacité est connue des américains, des israéliens, des européens et des pays arabes modérés. Encore que…prendre le président syrien au mot serait peut-être le meilleur moyen de dégonfler la baudruche.

http://www.israelvalley.com/edito/2007/01/17/7952/israel-rien-de-neuf-avec-la-syrie-par-mati-ben-avraham

Yona

joel said...

Du materiel italien pour l'armée israelienne !!! C'est une commande d'HALOUTZ ?